FAQ Stratégique

Quels sont les avantages de créer une entreprise à Dubaï pour un résident européen ?

Créer une entreprise à Dubaï permet de bénéficier d’une fiscalité très avantageuse, d’un accès stratégique à l’Afrique, l’Asie et l’Europe, et d’un environnement économique stable. C’est aussi l’un des rares endroits au monde où il est possible de créer et gérer une société 100 % étrangère avec zéro impôt sur le revenu personnel.

La fiscalité des entreprises à Dubaï reste légère : 0 % pour la plupart des Freezones. Depuis 2023, un impôt sur les sociétés de 9 % est appliqué pour les entités ayant des revenus imposables supérieurs à 375 000 AED, principalement dans le Mainland. Les dividendes et plus-values restent exonérés.

 

Des zones franches comme IFZA, Meydan Freezone ou DSOA sont particulièrement adaptées à l’e-commerce. Elles offrent des procédures simples, des licences adaptées au commerce digital, et des bureaux virtuels à moindre coût, idéals pour lancer une activité en ligne depuis l’étranger.

Non, la résidence n’est pas obligatoire pour créer une société. Toutefois, elle est recommandée si vous souhaitez bénéficier pleinement des avantages bancaires, de la fiscalité locale et obtenir un visa investisseur. Vous pouvez aussi gérer votre entreprise à distance dans la plupart des Freezones.

La plupart des sociétés Freezone peuvent être créées en 3 à 5 jours ouvrés après la soumission complète des documents. La rapidité dépend aussi de la nature de l’activité, des justificatifs fournis et de l’expérience de l’accompagnateur comme EXILLIUM.

Le visa investisseur est accordé aux créateurs ou actionnaires d’entreprises. Il donne plus d’autonomie, notamment en matière de banque et de sponsoring familial. Le visa salarié est lié à un contrat d’emploi et ne donne pas les mêmes droits d’ouverture de société ou de sponsorisation.

C’est possible pour certains comptes professionnels, mais plus difficile. Les banques locales préfèrent les résidents pour des raisons de conformité. EXILLIUM propose des solutions adaptées en fonction de votre profil et des banques partenaires flexibles.

Dans la majorité des Freezones, il n’y a pas de capital social exigé. Toutefois, certaines zones imposent un capital statutaire symbolique (1 000 AED). Ce capital n’a pas besoin d’être bloqué sur un compte au moment de la création.

Oui, de nombreux francophones créent leur structure à Dubaï tout en étant salariés en France, souvent pour préparer une transition ou tester une activité. Il faut toutefois bien respecter les règles de votre contrat français (non-concurrence, confidentialité).

Les entreprises en Freezone doivent tenir une comptabilité simplifiée, produire un bilan annuel et parfois le faire auditer. EXILLIUM propose des solutions comptables adaptées aux exigences de chaque juridiction.

Oui, certaines Freezones permettent d’avoir plusieurs activités commerciales ou de services sur une seule licence. Il faut que les activités soient compatibles et validées lors de la demande de licence.

La TVA est de 5 % aux Émirats. Les entreprises réalisant plus de 375 000 AED de chiffre d’affaires doivent s’enregistrer à la TVA. EXILLIUM vous accompagne pour la déclaration mensuelle et la conformité fiscale.

 

Non. Dubaï ne figure pas sur la liste noire de l’UE ou de l’OCDE. Les autorités locales ont mis en place des mécanismes de transparence (UBO, ESR, AML). Il est crucial de respecter ces obligations pour garantir la pérennité de votre société.

Oui, mais les employés doivent obtenir leur visa via la Freezone concernée. Le quota dépendra de votre type de licence et du nombre de bureaux loués.

Oui, mais il est recommandé de vérifier la fiscalité dans votre pays de résidence pour éviter la double imposition. EXILLIUM vous oriente sur la structuration légale de vos flux.

Les sociétés Offshore ne permettent pas d’obtenir de visa de résidence. Pour cela, il faut créer une société en Freezone ou en Mainland.

Elle peut signer des contrats avec des entreprises locales, mais ne peut pas opérer physiquement sans autorisation (bureau, licence Mainland). Il existe des mécanismes pour contourner cela légalement.

Il faut enregistrer votre entreprise auprès de la Federal Tax Authority. EXILLIUM gère cette formalité et vous aide à évaluer si vous êtes au-dessus du seuil obligatoire.

Vous devez choisir une juridiction (Freezone ou Mainland), sélectionner le type de licence (commerciale, de services, industrielle), puis soumettre une demande auprès de l’autorité compétente. EXILLIUM vous accompagne à chaque étape.

Ne pas choisir la bonne zone, mal déclarer l’activité, ou ignorer les règles fiscales locales peut mettre en péril votre structure. EXILLIUM vous aide à éviter ces pièges dès la phase d’analyse.

Oui, notamment dans les Freezones. Depuis 2021, même certaines sociétés Mainland peuvent désormais être détenues entièrement par des étrangers sans sponsor local.

En moyenne 7 à 14 jours ouvrés, après la création de la société. Cela inclut la visite médicale, l’Emirates ID et l’apposition du visa sur le passeport.

Ce n’est pas automatique. Il faut dissoudre l’ancienne société et en recréer une en Mainland. Un audit fiscal peut être nécessaire. EXILLIUM vous conseille dans cette transition.

Le choix d’une Freezone dépend de plusieurs critères : type d’activité autorisée, nombre de visas nécessaires, emplacement géographique, coûts et réputation. Par exemple, DMCC est idéale pour les activités liées aux matières premières, tandis qu’IFZA est prisée pour les startups digitales. EXILLIUM vous aide à comparer les zones selon vos objectifs.

Oui, plusieurs zones franches comme RAKEZ, Shams ou GoFreelance proposent des licences spécialement conçues pour les freelances. Elles permettent de travailler légalement à Dubaï sans créer une structure complète, tout en offrant un visa et un compte bancaire professionnel.

La licence est généralement valable un an, renouvelable chaque année. Le non-renouvellement entraîne des pénalités et peut mener à la radiation de la société. EXILLIUM vous alerte automatiquement des échéances pour garantir votre conformité.

Bien que la tenue de compte soit plus souple qu’en Europe, un reporting annuel est requis, notamment pour les entreprises soumises à la TVA ou à l’impôt sur les sociétés. EXILLIUM propose un accompagnement comptable en français conforme aux normes locales et internationales.

Oui, avec une licence d’e-commerce en Freezone, il est tout à fait possible d’opérer une activité de dropshipping vers l’international. Il est important de mentionner clairement cette activité dans la demande de licence pour éviter tout litige ultérieur.

Oui. Depuis 2022, Dubaï a adopté un cadre réglementaire favorable aux crypto-actifs. Des licences spécifiques sont délivrées par VARA, l’autorité de régulation crypto. EXILLIUM vous guide dans l’obtention de ces licences innovantes et prometteuses.

Dubaï est perçue comme une place économique dynamique, moderne et stable. Une société émiratie inspire confiance à l’international, notamment dans les pays du Golfe, en Afrique et en Asie. EXILLIUM optimise votre image de marque en intégrant les codes locaux et internationaux.

Oui, surtout si vous ciblez des investisseurs dans les zones MENA ou SEA. Il est cependant recommandé de structurer juridiquement votre holding de manière internationale (par exemple : structure mère à Dubaï, filiale en Europe).

Les droits sont définis dans le Memorandum of Association (MOA). L’actionnaire peut recevoir des dividendes, participer aux décisions stratégiques et transférer ses parts, sous conditions. EXILLIUM vous aide à sécuriser ces droits dès la création.

Oui. Certaines activités comme les télécoms, les médias, ou les activités médicales nécessitent des autorisations spécifiques ou ne sont ouvertes qu’à certains types de licences. EXILLIUM vous oriente vers les options légales compatibles avec votre projet.

Oui, tant que vous respectez les obligations légales (renouvellement de licence, déclarations fiscales, présence minimale si visa résident). Beaucoup d’entrepreneurs vivent en France ou ailleurs et gèrent leur structure 100 % à distance grâce à EXILLIUM.

Il permet d’avoir une adresse légale pour enregistrer votre société sans louer un espace physique. C’est une solution économique, surtout pour les activités de services ou en ligne. Certaines zones franches incluent ce service dans leurs forfaits annuels.

Non, mais il est fortement recommandé. En cas de contrôle fiscal ou bancaire, une comptabilité claire et conforme est indispensable. EXILLIUM propose des services comptables francophones alignés avec les normes UAE.

Oui, les bénéfices peuvent être transférés via les canaux bancaires internationaux. Il faudra toutefois tenir compte de la législation fiscale dans votre pays de résidence. EXILLIUM vous met en relation avec des fiscalistes spécialisés.

Non dans la majorité des cas. Toutefois, certaines Freezones ou banques peuvent exiger un extrait de casier judiciaire propre, notamment pour les activités sensibles. EXILLIUM vous informe selon les exigences locales mises à jour.

Le plus tôt est le mieux : vous évitez l’impact de futures hausses de régulation ou de coûts. De nombreux entrepreneurs choisissent janvier pour aligner la comptabilité sur l’année fiscale, ou septembre pour se caler sur l’agenda des affaires aux Émirats.

Vous pouvez résider à plein temps, ou rester hors du pays à condition de revenir au moins une fois tous les 6 mois. EXILLIUM gère la validité de votre visa pour éviter toute expiration automatique.

Non. Les critères pour devenir citoyen émirati sont stricts. Toutefois, le visa de résidence longue durée (10 ans) ou le Golden Visa sont accessibles aux entrepreneurs remplissant certains critères de revenus, innovation ou investissement.

Cela nécessite la fermeture de la société dans la zone d’origine et la création dans une autre Freezone. Les transferts internes ne sont pas possibles. EXILLIUM vous accompagne pour limiter les coûts de migration et garder vos actifs intacts.

Une couverture médicale est obligatoire pour tous les résidents. Le choix dépend de votre visa (investisseur, salarié, famille). EXILLIUM vous propose des packages adaptés au budget et aux attentes des expatriés francophones.

Oui, un visa investisseur permet de parrainer conjoint, enfants et parfois parents. Il faudra prouver vos revenus, disposer d’un bail de logement aux Émirats et souscrire à une assurance santé. EXILLIUM prend en charge le processus de A à Z.

L’anglais est la langue officielle des contrats et des documents d’immatriculation à Dubaï. Une traduction en arabe peut être exigée pour certains actes notariés ou administratifs.

Non, Dubaï est une ville ouverte, cosmopolite et tolérante. Les lois respectent la religion officielle, mais la liberté d’entreprendre, de consommer ou de s’habiller est très large dans un cadre respectueux et professionnel.

Oui, les sociétés peuvent sponsoriser des employés expatriés avec un visa de travail. Il faut respecter les quotas liés à la taille du bureau, au type d’activité et déposer un contrat conforme au ministère du Travail.

EXILLIUM est un cabinet francophone spécialisé qui vous accompagne de bout en bout : stratégie juridique, choix de la zone, constitution de la société, ouverture bancaire, visas, fiscalité et croissance. Vous bénéficiez d’un interlocuteur unique et d’un suivi professionnel sur mesure.